Inkstaining
La Dérobée
D'amour
Restez couverts
Pourquoi ont-ils cessé de voir ?
Pourquoi ont-ils cessé d'y croire ?
Vous ne voyez à l'horizon que des petits espoirs
Pourquoi ont-ils cessé de voir ?
Pourquoi ont-ils cessé d'y croire ?
Je ne vois autour de vous que de l'Amour
Pourquoi ont-ils cessé de voir?
Pourquoi ont-ils cessé de croire ?
L'Amour vous recouvre
Rester couvert
Restez ouverts
Pourquoi vivent ils ainsi à découvert ?
Des fois
J’ai la sensation
De ne plus
Exister
Je voulais
Que tu ne respires
Que par ma peau
Je voulais
Que tu ne glisses
Que sur mes maux
Fais moi
Exister
Juste
Des
Fois.
J’ai créé ce monde
dans lequel
Nous partons
J’ai créé ce monde
pour que
nous puissions chaque seconde
Nous répondre
J’ai créé ce monde
pour Toi, pour
nous
pour notre bonheur
qui n’existe
nulle part
Ailleurs.
Et, il y a aussi des Petites fleurs...
« Ce souffle matinal me porte un instant
Une chaleur insaisissable passe dans le vent. »
C’est un mélange de déjà vu
une grande attente
une soif immense
et cet océan de larmes
qui m’emporta
par delà tous les mondes connus
Pardonne-moi
je n’ai pas survécu.
« Ce calme, cette douceur que j’oserais partager
Ce souffle, en tempête je pourrais transformer... »
Je ne sais pas si tu le sais
Que je respire mieux près de toi
Je ne sais pas si tu le sais
Que des larmes continuent de couler parfois
Je ne sais pas si tu le sais
Que je rêve de te couvrir de douceurs
Mais je ne sais pas si tu le sais que parfois
près de toi
j’ai eu si froid.
Je sculpte le vivant, je danse sous le vent
J’ai trop semé des petits bouts de moi
Fais-en du petit bois pour rallumer ta foi
Ils sont des perles, des souffles chauds, qui t’emportent
quelques instants au creux de nous
Danse avec moi.
T’offrir le monde
Je voudrais
T’emporter sous les étoiles
Je le fais
Sentir tes lèvres frémir
A souhait
Et moi qui me sauvera ?
Au loin,
Le vent fait chanter les arbres
secoue les cimes
De son vent chaud
Les feuilles dansent et chantent
Au bout des branches,
Tu ne reviendras plus.
J’ai écouté les arbres chanter
le chant de l’éternité
Mais il n’avait plus
le goût d’un seul de
tes baisers
J’ai trop semé
J’ai trop aimé
J’ai trop dansé
Sous tes yeux amusés
Je n’ai voulu que respirer
Par des chemins détournés
Nous aurions pu nous retrouver
La lune brille si fort
Elle emporte mes rêves
Loin de toi
Mes rêves seront plus forts
Que tes peurs et tes doutes
Ils reviendront te voir
Quand tu manqueras d’espoir.
J’ai trop rêvé
J’ai trop dansé Je t’ai trop aimé
Mes yeux se sont abîmés
Je ne voulais que respirer
A travers ta peau
Par ton souffle mesurer
Nous avons dû nous arrêter
Être affamée
En disette tu me laisses
Comme une affamée
à qui on a donné
Des miettes d’adoré
Je ne respire qu’à moitié
Aide-moi
Mon adoré.
Papillon je fus et je ne suis plus car fleur je suis devenue.
Grain de sable me voilà, cette fois.
Combien de fois encore te joueras-tu de moi ?
Liés pour toujours nous sommes,
les étoiles parlent à ceux qui prennent le temps de les écouter.
Et moi j’ai tout le temps puisque tu n’es plus autour.
J’aurais voulu que tu aies envie
de caresser ma peau
J’aurais voulu que la peau de tes
doigts frémisse de joie
Comme chaque millimètre de moi
Près de toi.
Les mots coulent de moi
Je voudrais qu’un jour
une seconde
un instant
tu réussisses à toucher mon âme
Comme tu le fais la nuit sous les étoiles
Toutes les ouvertures possibles
Tu les avais verrouillées de l’intérieur
Aucune issue possible
Tu ne m’as laissé
Tu es resté sur le palier à me regarder
Mais tu ne pouvais pas me voir vraiment
Tu t’étais enfermé dedans.
La lucarne de ton cœur
tu m’avais laissé
espérer
La lucarne de ton cœur
j’ai retrouvé
fermée
Je ne suis pas faite pour
braver les tempêtes.
J’ai senti le souffle du vent dans mes branches
La force de mes racines
La puissance de cette communication globale
avec l’ensemble de la galaxie comme une force génératrice
Un réseau interstellaire qui passe par mes racines
Je sens doucement mes feuilles bruire et pousser
Je suis fort et puissant
Je suis un arbre et je te ressens
Tu es mon sourire intérieur,
Ma joie et ma douceur.
Parle-moi.
Parle-moi de toi, de tes envies,
de tes joies.
Parle-moi de tes sourires
et de tes joies.
Chez moi
Il y a des couleurs
Qui chantent et qui dansent
J’aime faire chanter les couleurs
Quand les notes m’enveloppent
Je vois des couleurs
Pour que chaque jour
Te soit doux et chaleureux
Je prie les étoiles
Je prie le Soleil et la Lune
Chaque journée mes pensées s’envolent
Vers ton cœur.
Une brume cosmique
m’envoie des rayons de toi
Je vois des arbres
à la cime du ciel
Ce plein de toi qui jaillit sur moi
A la cime
Tu seras là.
Reste au creux de moi quand
tu vois au-delà de moi
Des doutes immenses te font perdre ce fil
Encore une fois
je pleure à l’intérieur, sur ta peau
Et l’empreinte de tes doigts
à jamais sur moi
Restera.
L’Aurore est là
De nouvelles pages blanches
Se remplissent d’invisible
Indéfiniment
Je suis la gardienne du temple
sacré, les étoiles sont mes alliées
Déesses de l’univers
Elles veillent sur Vous
Levez les yeux et écoutez leur
chant silencieux
Si Harmonieux
Gardiennes de nos Amours
Infinies.
La chaleur de tes murs
Sur moi court nue
Auréolée de tes charmes
Je déambule
Là des pierres immenses
Me content toutes tes
Romances
Il mes reste des traces
Chaque dorure
Sur mon corps passe
Ici je goûte tes vies
Je bois ton corps et
Tes larmes
Je suis sous ton charme
« Des vœux de bonheur
Des vœux, de chaleur
Des « je veux »
Des jeux
Des je te veux
Jeux te vœux
Les meilleurs
Pour toi ma fleur. »
Je ralentis le temps
J’explore des continents inconnus
Je brille par mon absence
Je ne suis que le fruit de
mon existence
Je suis là et partout à la
fois.
Je sens qu’une nouvelle ère commence
Les mots n’ont plus le même sens
Je perçois leur existence.
Les papillons volent en escadron
Je me suis posée sur ton cœur.
« Dans l’ombre tendre de la nuit silencieuse,
L’homme invisible, sa passions se libère, précieuse.
J’aimerais venir te rencontrer, secret rendez-vous,
Épouser tes courbes, éveiller notre amour à genoux.
Te réveiller, doucement, d’un baiser enflammé,
Sentir ta chaleur, tendrement enlacés.
Te trouver dans l’éclat de ton doux regard,
Te tenir, en émoi, comme le soir dans un poème d’art.
Aussi loin que je suis, je pense intensément à toi,
Te désire ardemment, mon cœur bat pour toi.
Les yeux fermés, je t’imagine, notre destin scellé,
Je te dessine, nos désirs en secrets révélés.
Ma langue, douce, trace le chemin de ton désir,
Mes mains au creux de tes reins, tendres caresses,
Je veux qu’on se colle, dans cette fièvre qui me presse.
Qu’on se serre, en fusion, nos âmes en harmonie,
Dans l’éclat d’un feu brûlant, notre amour en poésie. »
Le boxeur esquive
Il se plie
Comme la nuit sur
la Terre
Des mots qui caressent
Douceur ultime
Longueur infinie
Des mots qui étaient en moi
Depuis ce temps infini
Douceur ultime
Entendre, attendre
Des larmes étranges
Bonheur immense
Qui s’en va, me frôle
Pénètre mon temps et s’enfuit
Soudainement
Intensément, éternellement...
Si loin de moi
Mon âme
est à toi
Mon Adoré.
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