Nature IX

 


Commentaires

Anonyme a dit…
En lisant ce poème, presque je m'envole, je décolle, oui, oui... non. Je retombe. Il s'en faudrait pourtant de peu, me semble-t-il, que je me laisse emporter par les papillons jusqu'aux étoiles, qu'une puissante légèreté me fasse sortir de moi-même ; je me permets de vous indiquer quelques points qui, je crois, ont entravé mon essor.
Anonyme a dit…
Ce jeu d'aller-retour entre les étoiles et les papillons donne le vertige.

Ce jeu d'opposition entre la multitude et l'unicité donne le tournis. Il fait entrer dans l'immense et appelle l'humain à grande modestie.

L'auteur s'est lancé dans une audacieuse comparaison dialoguée entre une étoile et un papillon.

On est ici dans l'observation qui se prolonge en réflexion philosophique.

Voici une très belle surprise matinale
Anonyme a dit…
Car les étoiles filent et les papillons butinent.

Car les étoiles brillent et les papillons volent
Car les étoiles sont éternelles et les papillons se meurent
Dans la douleur. »

Cette tonalité presque musicale mériterait d'être mieux exploitée en la diffusant aux autres parties, à savoir le quatrain d'ouverture et le quintil de fin. La poésie se serait emballée comme dans une chanson, prenant la tête du lecteur au point de lui insuffler un souffle permanent, au-delà même de la première lecture.

En espérant que ce commentaire vous soit utile.